jeudi 20 novembre 2014

LE CILICE DE FEU CRONICA 1


Endereço deste blog: yannickcharbonnelmots.blogspot.com

Titulo: LE CILICE DE FEU Cronica 1, Cronica 2, etc. ( principalmente em português )

É um blog dentro dum blogue ( CRONICA dentro de LE CILICE DE FEU ) escrito por um françês, principalmente em português e, de vez em quando, com algumas linhas em françês ( as vezes com a tradução imediatamente a seguir ) tal como lhe vem a cabeça, a falar de todos os assuntos tantos profanos como religiosos.

Subtitulo: Cronica profana e religiosa dum crente em Jesus de Nazare, homem e Deus..

Endereço: yannickcharbonnelmots.blogspot.com
LE CILICE DE FEU CRONICA
( deve ser considerado como destacado de LE CILICE DE FEU )


Basta ler-me durante alguns segundos para perceber tambem que a lingua portuguesa não é a minha lingua materna. Há tantos anos que vivo em Portugal, peço a todos que me leiam de me perdoar de escrever tão mal.
Isto dito, entramos na leitura.

CRONICA [ 1 ]

Aproximei-me da menina de vinte anos e disse-lhe: Você me dá a permissão de publicar a resposta que deu a minha pergunta 'Estou a fazer um inquerito pessoal para o meu blogue: O que é o amor para você ?'

— Aceito!
 — E posso escrever que foi vocé que mo diz?
— Ah não!
— Então amanha vou escrever a sua definição do amor.

De facto, quando fiz a esta menina a minha pergunta, era, imaginamos uma segunda feira, e na altura ela me respondeu: — de imediato assim não tenho ideia mas vou pensar e dar-lhe-ei a minha resposta.
No momento gostei muito da sua decisão, ela achava a questão duma certa importancia e pedia tempo para dar uma resposta pensada.
Quando voltei a vê-la, acho que foi dois ou três dias depois, então se o dia da minha pergunta era segunda feira era uma terça o quarta feira. Quando me viu, ela me falou assim: — Ja tenho uma resposta.
Não percebi de imediato de que se tratava porque sou muito na lua e esquecedor. E ela continuou, contente dela: — O amor é uma droga, ela deixou passar dois segundos e disse apoiando cada syllaba, vi-ci-ante!
Fiquei com uma alegria interior bastante grande ao realizar que a menina não tinha deixado a minha pergunta no ar e que ela estava agora a me dar a resposta prometida.
Repeti: — Então, a vossa definição do amor é « o amor é uma droga viciante! » Aqui lamento não ter utilizado o meu pequeno gravador de video pois a maneira como ela disse essas palavras voltara a minha memoria sem alterações como burbulhas de champagne ( o vinho ) na minha cabeça cada vez que vou pensar no assunto. Não há duvida que para ela o amor é uma droga viciante, e eu, que combati toda a minha vida para explicar aos jovens os maleficios das drogas decidi fazer uma excepção e pôr essa resposta numa pagina virgem e aprofunda-la até a ultima gota.
« O amor é uma droga viciante! »
Afinal, ela tinha razão de não querer que o seu nome fosse divulgado. Não é nada bom espalhar aos quatro ventos o perfume duma flor que nem tomamos o tempo de respirar. Foi eu que a descobri sera justo ser eu a respira-la. Estou a falar da flor do seu espirito.
Aqui quero pôr uma parentesis: Em todo o que você ler de mim nunca meta qualquer vertante sexual. Todo o que faço deve ser visto dum ponto de vista de esteta. Lamento a morte da minha mulher há oito anos e ela continua a ser a minha mulher, a unica com quem fiz amor no casamento e a qual continuo fiel embora a religião a quem pertenço me permitisse voltar a casar e o meu coração esta comprometido com uma mulher que amo e que talvez nem o sabe.

Voltamos a « menina ». Alguns dias depois, ela me disse: « Então, pûs a minha definição no seu blogue? »
Admirei-a porque, penso eu, isso é a prova duma pessoa de bom fundo que não esta a pôr uma duvida sobre as palavras de outra pessoa.
Respondi: « Não, porque a minha questão foi: « O que é o amor para vocé? » e a minha questão devia ter sido « o que é o amor cristão para vocé visto na altra ter em mente a vontade de pôr a resposta dentro dum dos meus dois blogues, o françês e o português, que tême um vertante specificamente religioso. Mas mandei a uma amiga do Canada a sua definição e estou a espera da sua resposta. »
Passam-se um ou dois dias, a menina me diz: « Recebeu uma resposta de sua amiga do Canada ? » « Não, mas vou abrir dentro do meu blogue LE CILICE DE FEU, um 'blogue' especial chamado CRONICA ( a consirar como separado de LE CILICE DE FEU ) a tratar de tudo, tanto do profano como do sagrado, e assim não vai parecer fora do assunto esta questão sobre o amor ( entendido 'humano' ) e a sua resposta. »
As coisas se passaram mais ou menos assim mas é incrível como é dificil relatar à perfeição como elas se passaram de facto.
La Bible dit d'elle-même que ce sont des paroles repassées sept fois dans l'esprit de l'auteur sacré se mettant sous la mouvance du Saint-Esprit et nous pauvres humains quand nous révisons deux à trois fois nos pensées écrites, c'est déjà le bout du monde. De là vient que nous retirons si peu de profit de ce que nous lisons.

dimanche 19 octobre 2014

LE CILICE DE FEU, ÉLÉMENTS POUR UN ROMAN

LE CILICE DE FEU, ÉLÉMENTS POUR UN ROMAN

Il est très facile, pour ceux qui ne comprennent pas très bien le français, de me lire dans leur langue avec le Google Translator. Ils auront au moins une idée générale de l'ensemble.
Ce soir, il fait chaud, je suis au café de la place. Je voulais dire ceci pour ceux qui s'intéressent à la construction d'un roman de A à Z que mon cas est un peu spécial dans le sens que j'ai un esprit religieux. Mon roman ne peut donc pas être profane. J'essaie, le plus délicatement possible de mettre DIEU dans le roman, dans le sens où les héros non seulement ne doivent rien changer à leur train-train quotidien mais doivent étudier ce que DIEU a révélé pour nous aider dans des cas pareils puisqu'il existe et que bien des romans l'excluant de leurs pages nous mettent parfois devant des analyses fausses.
Ainsi, mes deux héros ont DIEU dans leur vie mais de façon différente. Bernard est un grand prieur de saint Michel, il ne fait rien sans le prier et sans suivre ce qu'il pense être son inspiration. Le diable, l'ennemi lui, utilisera tous les pièges et toutes les astuces.
Là ce sera très difficile à écrire.

Bernard Paradis, il s'appelle Paradis, c'est pas pour rien, c'est le calme même, l'extrême prudence. Sa femme est plus impulsive et Bernard en souffre car tout l'intérêt de l'intensité dramatique est de savoir si les deux s'en sortiront bien. Par exemple, quand je lis le Cantique des Cantiques, pourquoi l'épouse, l'Église, dit-elle à l'Époux de fuir. David, type du Christ dit bien qu'il n'a pas à fuir, que son refuge c'est DIEU. De même le psaume 87 ( Vulgate ) est consternant, alors je vais l'utiliser dans mon roman. Vous verrez comment, au moment où mon héros paraîtra le plus délaissé, en fait DIEU l'aura le plus protégé. L'épouse, elle, mourra de joie dans les bras de son bien-aimé, c'est pourquoi elle dit à son époux: fuis car moi je vais vers DIEU, fuis tes ennemis et accomplis ton temps sur la terre. nous nous retrouverons au Ciel.

Comme je construis mon roman, et que rien n'est décidé j'ai envie de placer mes héros au temps et au lieu des Khmères rouges.
Bernard devra continuer sa mission seul qui sera de dire comment le mal se cache, comment il faut lutter pour le bien. Voir que le mal est très astucieux. Il ne dit rien, il cache tout, il analyse, il fonctionne en plusieurs tempos reléguant telle chose sur un exécuteur suivant de façon que personne n'y voit que du feu.
La Croix Rouge va inspecter un camp, c'est une idée dans le roman et évidemment les Khmères veulent donner bonne impression tout en gardant la main mise sur la situation. Alors ils instituent tout un réseau de récupération des échappés. Tout doit paraître le plus naturel possible. Une première ronde, hommes du commun dans la ville, deuxième ceinture, des hommes à vélos, des sportifs, troisième enceinte, des camions superéquipés en phares pour éblouir les 'fugitifs' ( là je pense à Diana qui a peut-être été victime de tel procédé ).
Ainsi, Bernard lui fait comprendre que la conversation est terminée par ce qu'il y a le danger la nuit que les projecteurs ( allemand ou khmères, on verra ) ne les éblouissent.

lundi 13 octobre 2014

LE CILICE DE FEU Éléments pour un roman ( suite )

Beaucoup de choses se passent que je vois autour de moi et, qui arrangées d'une certaine manière, pourraient être matière pour un bon roman.
Mais c'est très dur d'être un bon romancier, je m'en aperçois tous les jours, et j'ai très peu de temps pour cela en fait. Je donnerais facilement dix ans de ma vie pour écrire une belle page de littérature, deux ou trois très belles phrases, mais ce n'est pas une raison pour oublier la vie de tous les jours non plus et de se réfugier dans le rêve.
Avec ma petite vie bien réglée, tous les lundis sont pareils, tous les dimanches sont pareils. Dimanche prochain sera ce qu'était dimanche dernier, question horaire. Je crois que avec de la constance, on finit par tout réussir, par venir à bout de tout.
À une prochaine fois, ceux que ça intéresse.

mercredi 24 septembre 2014

LE CILICE DE FEU: élément pour un roman. CHAPITRE X

LE CILICE DE FEU:
éléments pour un roman.
CHAPITRE X.
-Chef, il y a un hic dans cette liste.
C'était une liste d'achats.
Bertrand tendit le papier au chef.
xxx , c'était son nom, lui dit.
-Et quel est ce hic?
Je connais l'homme en question, j'ai vécu trois ans près de lui, il ne mange jamais de viande.
En effet sur la liste d'achats au nom de XXX avec Multibanco était écrit:
4 côtelettes.
Le chef réfléchit.
-Il peut les avoir achetés pour un pauvre.
- Ça, rétorqua Bertrand, certainement pas.
-Et pourquoi?
-Parce que je le connais, il partage sa nourriture avec celui qui a faim mais jamais il n'achète spécialement une chose qu'il se refuse à lui-même par suite du manque d'argent ou d'une tentative de faire pénitence.
-Vous semblez bien le connaître, lui dit le chef.
-Trois ans, ça laisse des marques.
-Vous voyez une autre anomalie.
-Les bières, il ne boit jamais des 'Satra' mais des 'super bec'.
-Donc, dit le chef.
-Donc ce carton à son nom a servi à quelqu'un qui s'en sert à sa place sous son nom et fin du fin, dans le même magasin que lui.
-Subtil.
-Subtil.

Éléments pour un roman à développer...
Je crois que je ne terminerai ce roman qu'à force de beaucoup de travail.
Ne me piquez pas mes idées, la joie vient de ce que nous avons réussi par nous-mêmes.
Si l'idée vous plait, copiez vite ce texte car je me réserve bien sûr le droit de l'effacer à tout moment.
C'est le nom du chef que je n'ai pas su trouver.
L'employé, Bertrand, ça va. Il faudrait que je souligne mieux la joie de sa découverte, sa petite fierté de la montrer au chef. On aime être appréciés.
À la prochaine.

LE CILICE DE FEU: éléments pour le roman ainsi nommé. CHAPITRE IV, V ou VI.

LE CILICE DE FEU
CHAPITRE IV, V ou VI,
cela n'a pas d'importance, il s'agit seulement de tâcher de rassembler des éléments pour en faire un roman avec beaucoup d'imagination. Il s'agit de voir des choses du quotidien et d'analyser si on pourrait en touchant ici et là en faire un roman. En quelque sorte faire avec des vieux bouts de chiffons bien lavés et bien arrangés une belle robe de mariée.
Le titre, au lieu d'être LE CILICE DE FEU devrait donc être COMMENT ÉCRIRE UN ROMAN, plus ou moins.
Aujourd'hui je vais faire la supposition suivante.
Je ne me sens pas en forme pour écrire, mais ça ne fait rien.
Donc, le 'héros' s'appelle Bernard Paradis
Je vais prendre comme modèle mon propre et unique compte en banque.
Je n'y connais rien dans les banques.
Par exemple j'étais dans une banque de nombreuses années, une banque qui n'était pas sans rapport quant au nom avec une personne de la sainte Trinité. Quand je suis venu habiter ici à xxx ( peu importe le nom de la ville ) j'ai plus ou moins cessé d'alimenter mon compte à cette banque, l'autre et j'ai ouvert un compte ici. Ils m'ont gentiment demandé là-bas de le fermer ( le compte que j'y avais ) puisqu'il n'y avait plus de sous, selon eux. J'avais toujours l'espérance de l'alimenter mais j'étais trop occupé à soigner mon amie malade. Ce que je ne comprenais pas c'est qu'ils me demandaient de fermer mon compte alors que sans que je leur demande rien ils en avaient ouvert un second à mon nom pour sans doute m'incentiver à faire des épargnes. Bref, un jour je mets mon carton de cet ancien compte pour savoir combien de centimes il y avait sur cette banque.
Ils me gardent mon carton en disant en plus que c'est pour ma sécurité.
Et depuis ils ont d'eux-mêmes fermé ce compte et garhdé mon carton.

Ça, c'est un bon élément pour mon roman.
Imaginez qu'au lieu du carton j'ai une puce sur la tête ou dans la main comme la Bible dit que ceux qui l'acceptent brûleront dans le feu éternel.
Eh bien, si j'avais une puce, crac, un simple clic et je ne suis plus rien. Je ne peux plus ni acheter ni vendre.
Voyons maintenant mon roman avec Bernard Paradis, au lieu de mon nom écrivez Bernard Paradis.
Ce que Bernard Paradis, qui n'y connaissait rien, ne comprenait pas, c'est qu'un jour on lui dit au balcon de sa nouvelle banque depuis quelques temps: «
La direction veut changer de carton, s'il vous plait donnez-nous votre carton et remplissez ces papiers et signez pour avoir un nouveau carton.»
Et ainsi fit Bernard Paradis.Mais à aucun moment BP ne vit les employés détruire l'ancien carton.
Il n'y connaissait rien dans les Banques.

Mais je continue.



















Alors, ici, vous voyez ma petite vie toute simplette. Mais si je regarde bien, ça me donne beaucoup d'idées pour continuer mon roman.

COUP DE THÉÂTRE.
Dans les romans comme au théâtre il y a des coups de romans.
Là le coup de roman est un petit détail absolument bénin.
Quelle est la première chose qu'un homme achète quand lui arrive inespérément un grosse somme d'argent?
Eh bien, il s'achète une belle voiture neuve.
Alors là j'ai flippé et j'ai vu des éléments pour mon roman dont Bernard Paradis est le héros: Deux employés le même jour se sont mis à arborer chacun une magnifique voiture.La marque de l'une d'elle est la même que celle où dans une prophétie mienne l'espion était au bord de la mer.N'importe qui n'y trouverait rien à redire mais pour qui cherche des éléments pour un roman, il y a là 'matière' Ça m'a fait flipper, oui, j'y vois là matière à roman.
À la prochaine.
Toute comparaison avec des personnes existantes est non seulement fausse mais serait malvenue.
Je dois y aller, je reviens dès que je peux.
L'écrivain en herbe, Yannick. Votre serviteur. Tout ça pour vous faire passer quelques minutes agréables à lire.
Priez, ceux qui aiment mon expérience, pour que j'écrire ce roman de A à Z. 
A comme Anna.
Z comme Zen.
Vous aussi chers lecteurs, essayez de faire votre roman et partageons nos expériences.

samedi 1 mars 2014

LE CILICE DE FEU - roman - CHAPITRE III -


LE CILICE DE FEU - roman - CHAPITRE III -
LECTURE SEULEMENT POUR PERSONNES MAJEURES.

ROMAN EN COURS


TITRE      - LE CILICE DE FEU -


- CHAPITRE III -




Moi, Chris Angels, né le 6 janvier 1971, à Formentera, Espagne, je demande instamment à tous ceux qui voudraient m’envoyer de l’argent de ne pas le faire.
Pour des raisons toutes simples. 1 Je ne saurai jamais que vous m’envoyez cet argent, 2 donc, personnellement, je ne le toucherai jamais, 3 tout est en place dans l’ombre pour qu’un groupe obscur  touche cet argent, 4 et une fois leur plan complet réussi, je serai éliminé.
Ne vous fiez pas maintenant à des papiers portant mes empreintes digitales. Quand ce sont les miennes, le processus malhonnête spirituel employé au départ pour obtenir ces empreintes et par la suite le processus malhonnête matériel utilisé pour profiter de ces empreintes digitales fait que du début à la fin ce document est quand même un faux. Il s’agit d’un texte que je n’ai jamais voulu au départ comme tel, ni à la fin comme tel, mais qui représente une volonté de mes ennemis obtenue ‘sous l’apparence de la normalité’ par addition de tricheries successives, pour tromper ceux qui me veulent du bien.

Je donne un exemple: X est venue me dire qu’elle pourrait me louer un appartement, car je disais tout haut partout que je cherchais un appartement moins cher. Elle m’a dit qu’elle en avait un et avait besoin pour faire un contrat, sur une feuille, de mon nom, mon adresse et le numéro de ma carte d’identité. Je m’y suis plié volontiers de bon gré. En fait, c’était un piège, elle n’avait pas l’intention que j’aille habiter dans un appartement à elle mais c’était pour avoir une feuille avec mon nom, mon adresse, le numéro de ma carte d’identité et mes empreintes digitales. Il n’y avait rien d’autre d’écrit sur cette feuille qui a donc mes empreintes digitales. Ensuite, Z comme par hasard, m’a demandé que je lui donne le stylo à bille avec lequel j’avais écrit sur la feuille écrite pour X. Z prétexta en avoir besoin pour noter des idées et me demanda au passage en même temps mon petit carnet, pour donner plus de réalisme à son mensonge. C’est une ‘connaissance’,  je me prête à ses désirs, mais son intention réelle, c’était d’avoir le même stylo à bille avec lequel j’avais écrit ce que j’ai dit sur la feuille pour X.
Maintenant il ne manque plus que deux choses pour que les mauvais atteignent leur intention, et ‘trompent’ avec toutes les apparences de la légalité, les gens de bonne volonté qui veulent m’aider: 1 rajouter, en mimant mon écriture, ce qu’ils veulent sur la feuille de papier de X, 2 ajouter ma signature.
Pour la signature, soit ils me raptent et m’obligent à signer sous menace de mort ou de torture – ainsi, même si je ne signe pas, ils atteignent leur but: en touchant la feuille, je laisse mon empreinte digitale près de l’emplacement de la signature et ils peuvent imiter ma signature,
soit, comme ils ont déjà fait, ils me volent des documents originaux, imitent la signature et détruisent l’original pour qu’il y ait pas deux signatures semblables.

Il en serait de même d’un soi-disant ‘document de reconnaissance’ de ma part, soit ‘de dette’ soit ‘d’un don’ que je ferais à autrui en argent ou à une institution. Tout cela serait un faux. Si quelqu’un me donnait de l’argent, ce serait pour l’utiliser, moi, et non pour en faire don à d’autres. D’autre part, par le fait d’avoir été volé, j’ai quelques dettes que je n’ai pu payer mais très petites -pas de quoi faire une reconnaissance de dettes- que je paierai dès que j’aurai un peu d’argent car pour le moment si ’je reçois de l’argent’ tout est à mon insu.
Pour que tout ceci m’arrive il faut forcément qu’il y ait des personnes impliquées dans une même cause commune déshonnête à tous les endroits clefs du système de notre société, poste, impôts, ordre, etc.
Ce qui m’arrive n’arrive pas qu’à moi, c’est même assez ‘fréquent’, et –quoique sous une autre forme forcément- depuis les temps anciens, puisque même l’Ecclesiaste VI  1 et sv en parle.
Il n’y avait rien d’autre d’écrit que ce que j’ai dit sur cette feuille à X qui a donc mes empreintes digitales.

Concernant les sosies de moi, voici une autre caractéristique pour déceler le vrai des faux. Moi, le vrai, 1 on m’a empoisonné les pieds avec du venin de serpent, c’est encore visible et sensible et je ne marche plus qu’avec difficulté, 2 je me donne tous les jours trois disciplines sur le dos –ça laisse des traces- pendant que l’un de mes sosies débouche une bonne bouteille de vin sous mes yeux et la paye avec une partie de l’argent qu’il a participé à me dérober.
Reste à découvrir, si je le peux, comme un savant qui à partir de quelques os reconstruit tout un dinosaure, ce qui est en fait. Il y a ce que l’on imagine et ce qui est. Si l’on a des méninges, c’est pour qu’elles travaillent. En tout, il y a une vérité. À nous de la découvrir.