CHAPITRE IV, V ou VI,
cela n'a pas d'importance, il s'agit seulement de tâcher de rassembler des éléments pour en faire un roman avec beaucoup d'imagination. Il s'agit de voir des choses du quotidien et d'analyser si on pourrait en touchant ici et là en faire un roman. En quelque sorte faire avec des vieux bouts de chiffons bien lavés et bien arrangés une belle robe de mariée.
Le titre, au lieu d'être LE CILICE DE FEU devrait donc être COMMENT ÉCRIRE UN ROMAN, plus ou moins.
Aujourd'hui je vais faire la supposition suivante.
Je ne me sens pas en forme pour écrire, mais ça ne fait rien.
Donc, le 'héros' s'appelle Bernard Paradis
Je vais prendre comme modèle mon propre et unique compte en banque.
Je n'y connais rien dans les banques.
Par exemple j'étais dans une banque de nombreuses années, une banque qui n'était pas sans rapport quant au nom avec une personne de la sainte Trinité. Quand je suis venu habiter ici à xxx ( peu importe le nom de la ville ) j'ai plus ou moins cessé d'alimenter mon compte à cette banque, l'autre et j'ai ouvert un compte ici. Ils m'ont gentiment demandé là-bas de le fermer ( le compte que j'y avais ) puisqu'il n'y avait plus de sous, selon eux. J'avais toujours l'espérance de l'alimenter mais j'étais trop occupé à soigner mon amie malade. Ce que je ne comprenais pas c'est qu'ils me demandaient de fermer mon compte alors que sans que je leur demande rien ils en avaient ouvert un second à mon nom pour sans doute m'incentiver à faire des épargnes. Bref, un jour je mets mon carton de cet ancien compte pour savoir combien de centimes il y avait sur cette banque.
Ils me gardent mon carton en disant en plus que c'est pour ma sécurité.
Et depuis ils ont d'eux-mêmes fermé ce compte et garhdé mon carton.
Ça, c'est un bon élément pour mon roman.
Imaginez qu'au lieu du carton j'ai une puce sur la tête ou dans la main comme la Bible dit que ceux qui l'acceptent brûleront dans le feu éternel.
Eh bien, si j'avais une puce, crac, un simple clic et je ne suis plus rien. Je ne peux plus ni acheter ni vendre.
Voyons maintenant mon roman avec Bernard Paradis, au lieu de mon nom écrivez Bernard Paradis.
Ce que Bernard Paradis, qui n'y connaissait rien, ne comprenait pas, c'est qu'un jour on lui dit au balcon de sa nouvelle banque depuis quelques temps: «
La direction veut changer de carton, s'il vous plait donnez-nous votre carton et remplissez ces papiers et signez pour avoir un nouveau carton.»
Et ainsi fit Bernard Paradis.Mais à aucun moment BP ne vit les employés détruire l'ancien carton.
Il n'y connaissait rien dans les Banques.
Mais je continue.
Alors, ici, vous voyez ma petite vie toute simplette. Mais si je regarde bien, ça me donne beaucoup d'idées pour continuer mon roman.
COUP DE THÉÂTRE.
Dans les romans comme au théâtre il y a des coups de romans.
Là le coup de roman est un petit détail absolument bénin.
Quelle est la première chose qu'un homme achète quand lui arrive inespérément un grosse somme d'argent?
Eh bien, il s'achète une belle voiture neuve.
Alors là j'ai flippé et j'ai vu des éléments pour mon roman dont Bernard Paradis est le héros: Deux employés le même jour se sont mis à arborer chacun une magnifique voiture.La marque de l'une d'elle est la même que celle où dans une prophétie mienne l'espion était au bord de la mer.N'importe qui n'y trouverait rien à redire mais pour qui cherche des éléments pour un roman, il y a là 'matière' Ça m'a fait flipper, oui, j'y vois là matière à roman.
À la prochaine.
Toute comparaison avec des personnes existantes est non seulement fausse mais serait malvenue.
Je dois y aller, je reviens dès que je peux.
L'écrivain en herbe, Yannick. Votre serviteur. Tout ça pour vous faire passer quelques minutes agréables à lire.
Priez, ceux qui aiment mon expérience, pour que j'écrire ce roman de A à Z.
A comme Anna.
Z comme Zen.
Vous aussi chers lecteurs, essayez de faire votre roman et partageons nos expériences.
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