samedi 14 décembre 2013

LE CILICE DE FEU - roman - CHAPITRE I - ÉLÉMENTS POUR UN ROMAN.

LECTURE SEULEMENT POUR PERSONNES MAJEURES.

ROMAN EN COURS

TITRE     - LE CILICE DE FEU -

- CHAPITRE I -


Sur la haute colline d’en face, huit grandes éoliennes en ligne. La colline, à un kilomètre environ, barre en effet le paysage. Il y a quelques jours seulement, Bernard Paradis avait bien remarqué que chaque éolienne avait une seule lumière rouge en son sommet. Aujourd’hui, lorsque  Bernard, selon son habitude, se mit à la porte- fenêtre - il était un peu moins de sept heures du soir en ce 14 décembre et il faisait déjà nuit - il remarqua tout d’un coup que chaque éolienne avait maintenant sur son pilier au sommet trois lumières rouges en hauteur, chacune de la même grosseur que la seule lumière rouge qu'elles avaient précédemment. Bernard prit son téléphone mobile, composa le numéro de Sébastien. Il savait que toutes les conversations étaient enregistrées, aussi lorsque Sébastien lui dit un chaleureux ‘salut’, Bernard se contenta de dire: - Hey, t’es libre? Tu peux venir prendre un café chez Jo dans un quart d’heure? - Ok! répondit Sébastien qui raccrocha tout de suite. Le terme ‘un quart d’heure’ voulait dire: Il faut absolument que je te parle dans les cinq minutes. Le ‘café’, ça voulait dire: c’est à propos d’un sujet dont on a déjà parlé, il y a un élément nouveau d’importance. Jo c'était Antoinette.
Cinq minutes après, Bernard et Sébastien étaient assis au café d’Antoinette.

Bernard: -T’as gagné! c’est moi qui paye le café. S’ils ne m’ont pas embarqué la dernière fois c’est que le pilote s’est trompé de colline de repaire, il a pris la colline à l’ouest pour celle-ci, elle a aussi huit éoliennes en ligne avec chacune un seul feu rouge au sommet, la colline est à la même hauteur. Pour que cela ne se reproduise pas, ils ont mis trois feux en hauteur sur chaque pilier des éoliennes de cette colline pour la distinguer de l’autre, et cet après-midi un hélico est passé pour vérifier si maintenant les risques d’erreur étaient annulés. - Qu’est-ce que tu comptes faire ? Bernard répondit à la question de son ami. Ils bavardèrent encore trois minutes puis se séparèrent. - a suivre -

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